La prévention des troubles musculo-squelettiques nécessite un engagement du chef d’entreprise et de la direction des ressources humaines. Ils doivent :
Un salarié informé des risques qu’il encourt pour sa santé sera bien plus efficace pour prévenir les risques de TMS.
La formation concerne la prévention des risques, mais aussi l’accompagnement dans l’évolution des pratiques professionnelles.
Et plus vous détectez précocement les pathologies des TMS, moins il y aura de conséquences irrémédiables sur la santé des salariés (et les finances de l’entreprise).
Le coût direct des TMS pour les entreprises s’est élevé, en 2023, à près de 2 milliards d’euros travers leurs cotisations accidents du travail et maladies professionnelles (AT/MP) d’après Ameli.fr.
Et évidemment tous les désordres subséquents : dégradation du climat social, dégradation de l’image de l’entreprise pour ses clients, perte d’attractivité pour les candidats, etc.
De nombreuses entreprises opposent la prévention à la rentabilité.
Résultat : la prévention est plus souvent subie que choisie.
En effet, beaucoup d’entreprises préfèrent éviter les pertes, plutôt que de réfléchir à une logique de gains.
Dans le cadre des TMS, la mise en place de mesures de prévention profite à l’ensemble des salariés.
Les TMS, comme le mal de dos, de l’épaule ou du poignet, peuvent entraîner des absences répétées du salarié.
En fonction de son poste, il peut être difficile de le remplacer, ce qui favorise la désorganisation du travail.
De plus, cela impose une surcharge de travail aux salariés restants. À long terme, les conséquences peuvent devenir graves :
Mettez en place une démarche de prévention avant l’apparition de plaintes de la part des salariés, ou d’effets sur l’organisation ou la production.
Être proactif permet de limiter les effets des TMS pour l’entreprise et les collaborateurs.
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